Pianiste et compositeur , Julien TOUERY à participé à de nombreux projets en tant que leader ou accompagnateur. Sa polyvalence et son goût pour l'éclectisme ont fait de lui un musicien capable de maîtriser des genres musicaux très variés allant des musiques improvisées au jazz.

En 2009, il remporte une Victoire du Jazz avec le Quartet d' Emile PARISIEN, groupe avec lequel il continue toujours de se produire sur les scène du monde entier. Toujours en recherche de nouvelles expériences , il multiplie les collaborations et les créations avec des artistes comme Louis SCLAVIS, Michel PORTAL, Sylvain KASSAP, Barry ALTSCHUL, …

Ses qualités  instrumentales et son investissement sur scène font de lui un musicien de plus en plus demandé et on le retrouve souvent aux côtés de musiciens talentueux de sa génération comme Vincent PEIRANI, Manu CODJIA ou encore Yoann LOUSTALOT avec lequel il travaille étroitement depuis quelques années. 

 

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« À la croisée d’un regard nouveau porté sur la tradition du jazz et d’un irrésistible appétit de nouveaux espaces ludiques et sonores, Julien Touery incarne une nouvelle génération de musiciens, irrésistiblement multidimensionnels. » ( JAZZ MAGAZINE )

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« Le passionnant Julien Touéry dont le piano multiple nous ravit. Les touches d'ivoire, c'est bien, superbe même, et il s'en sert à merveille, mais à l'instar d'autres artistes « apprentis sorciers », il aime à aller bricoler dans la pièce à côté, tester, expérimenter un peu plus loin dans le ventre de sa belle bête noire, pour en extraire du son neuf.

Les cordes sont ainsi utilisées à vif, caressées, frappées, scotchées, bloquées, on les tire avec des fils qui délivrent des sons de violons mutants » ( ACTION JAZZ )

 

 

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« Il est clair que Julien Touéry , le pianiste, connaît le travail de Don Pullen. » ( NEW YORK TIMES )

 

 

 

 « Julien Touéry dont le piano ne se contente pas d'avoir assimilé les maîtres, de Chopin à Khühn en passant par Messian, pour faire vite, mais trouve sa voix propre » ( CITIZEN JAZZ )

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Portrait dans Le MONDE du 20/07/2013 par Nathaniel Herzberg :